Un des sujets chauds qui dérange les Français est celui de la candidature de l’ex-RPR à la prochaine élection cantonale à Marseille. En effet, malgré son charisme fort sur le terrain politique, Bruno Perez, le gaulliste de nature, puis converti à l’Islam (il y a 7 ans), met le public en doute par son parcours politique. On l’a connu pour la première fois en 1995 lorsqu’il militait pour le RPR à Marseille.
Puis en 2001, il a marqué sa première entrée dans le monde politique, avec l’appui de Charles Pasqua, dans son objectif de détenir une place au sein du Rassemblement Pour la France (RPF).
Actuellement, suite au contact émanant de l’UDMF, cet ancien militant marseillais est sollicité à déposer sa candidature à la prochaine élection cantonale. Mais le jeu ne semble pas être facile notamment lorsque tant de questions surgissent, celles sur son « parachutage » par rapport à sa position dite « mercenaire ». Pour sa part, c’est le respect de la laïcité qui prime, et il n’a point l’intention de vouloir transformer la France en un État islamique. Il défend ses idées lors des interrogations des journalistes et des conférences de presse sur son programme dans lequel il réitère ne vouloir en aucun cas mettre en pratique la charia.