Georges Pompidou et Jacques Chirac ont essayé d’appliquer des normes sur le programme Gaulliste dans les années 70. Ils avaient, en effet, tendance à classer le gaullisme comme les programmes des droites de l’Europe, comme le capitalisme libéral et l’atlantisme. C’est ainsi que le terme néo-gaullisme a été né. Par néo-gaullisme contemporain, il ne reste plus qu’une seule idée qui est celle de garder la force de la France à travers une Europe complètement indépendante.
Dans les années 80 et 90, le libéralisme économique a pu gagner de l’ampleur aussi bien en Grande-Bretagne qu’en Amérique. À l’époque, nombreux d’entre les adhérents du RPR ont décidé de rejoindre ce programme, avec la mésentente idéologique face aux gouvernements socialistes à l’aube des années 1980. Cette tendance a encore été favorisée avec les mesures prises par le gouvernement Jacques Chirac entre 1986 et 1988.
À partir de 2002, le Rassemblement pour la République ou RPR a été dissous pour donner lieu à l’UMP ou Union pour un mouvement populaire. Depuis, nombreux sont ceux qui se soucient de l’avenir du gaullisme sur la politique française. Toutefois, malgré la disparition du RPR, certains mouvements ont misé particulièrement sur le maintien du principe gaulliste. Pour y parvenir, ils devenaient membres de l’UMP ou ses associés.