La droite commençait à perdre sa vraie identité, après 1945. En 1962, la France adoptait une certaine marginalité politique. Les membres de droite soumettaient alors à une mutation, à compter des années 1980. Puis, la culture gaulliste est sujette à une liquidation.
Le gaullisme, face à des situations ambigües
Les gaullistes misaient sur les Indépendants ainsi qu’aux hostiles, en 1958. Ils ne s’intéressaient donc pas à la gauche. En effet, à l’époque, l’un des membres du gaullisme, dont André Boulloche, occupait le poste du chargé de l’Education. La réflexion du pays se basait sur les termes gaullistes-antigaullistes.
De leur côté, l’UNR ou Union pour la Nouvelle République et les Indépendants s’unissaient. Pourtant, cette droite ne voulait pas avouer leur tendance. Ainsi, des conflits faisaient surface en Algérie ainsi qu’auprès des notables entre 1940 et 1944.
En 1969, la tendance gauche-droite commençait à atteindre son paroxysme. Le gaullisme adopterait encore une normalisation petit-à-petit. Puis, il se transformait complètement en un parti de droite classique. Cette transformation prenait plusieurs dizaines d’années. Toutefois, d’importantes différences ont été constatées au niveau du peuple UDF et des militants du RPR ou Rassemblement pour la République. Elles sont constatées au niveau des origines sociales, de l’idéologie, du lieu à l’histoire du pays, etc.