Aux élections régionales, Christian Estrosi estime que les valeurs du gaullisme ne correspondent en aucun cas au rassemblement national. Christian Estrosi n’a pas manqué de rappeler l’époque où les successeurs du gaullisme œuvraient pour le rassemblement et à l’ouverture pour ne pas tendre vers l’extrémisme.
Il a rassuré les personnes qui ont des doutes sur les égarements que cette âme gaulliste est encore vivante. Quelques personnes nourrissent une ambiance de haine, certains ont des visions politiques déformées. Il faut que ces personnes-là sachent que la valeur du gaullisme n’a aucun point commun avec rassemblement national. Ainsi le fait de s’allier avec les partis d’extrême droite est inacceptable. C’est complètement inacceptable au point de vue moral.
Il se positionne parmi les politiciens qui estiment que l’acte politique est d’abord un acte de rassemblement dans le but d’un partage de territoires. Il se positionne parmi ses prédécesseurs qui ont toujours lutté contre le rassemblement national et pour que le respect de la tolérance, le respect de la liberté, de travail, lutter pour le sens de la responsabilité, le mérite. Ces valeurs sont d’autant plus essentielles dans ce climat de crise sanitaire avec ses répercussions économiques et sociales considérables.